Hotspot de la Biodiversité du Bassin Méditerranéen
Le Bassin
méditerranéen représente le deuxième plus grand « hotspot » dans le
monde pour la conservation de la biodiversité. Le maintien de
l’équilibre entre ces écosystèmes et l’évolution des activités humaines
agricoles et industrielles notamment constitue un défi.
Le Fonds de partenariat pour les écosystèmes critiques (CEPF) a
développé une stratégie de gestion participative de ces écosystèmes ceci
à travers la mobilisation des acteurs locaux engagés dans différents
pays de bassin méditérannéen. L’objectif de cette partenariat serait de
réduire les impacts de l’évolution de l’activité humaine sur les
ressources naturelles et sur les écosystèmes identifiés à travers la
conservation de la biodiversité principalement les espèces menacées et
les sites critiques pour la biodiversité.
L'investissement du CEPF dans le bassin méditerranéen Hotspot a commencé
en 2012 et a financé 77 projets avec un total de $ 6.9 million dans 12
pays du méditerranées.
La mi-parcours du programme se produit en 2015. L'investissement à jour
sera évalué à travers une évaluation à mi-parcours, comprenant une série
d'exercices participatifs pour recueillir les commentaires de toutes
les parties prenantes dans le programme. C’est dans ce cadre que
l’Association Réseau Enfants de la Terre (RET) a organisé l’atelier
national pour l’évaluation à mi-parcours à la cité des Sciences, 5
février 2015 qui a pour objectifs :
• Fournir une plateforme aux bénéficiaires pour évaluer l'investissement
du CEPF dans leur pays et pour discuter des défis de l'avenir des
investissements du CEPF à l'échelle nationale.
• Permettre l’échange d'expériences et le réseautage des organisations
bénéficiaires.
• Produire un rapport national résumant les discussions et décisions
prises collectivement pour alimenter l'évaluation à mi-parcours global
pour les investissements du CEPF dans le hotspot du bassin
méditerranéen.
On remercie les représentants des associations qui ont participé
activement aux discussions qui serviront à l’amélioration de notre
travail pour la conservation de nos zone humides et contribuer aux
efforts de conservation de la biodiversité et au développement durable.
Commentaires
Enregistrer un commentaire